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RPG
| Sujet: La magie pratiquée dans les Trois Terres Dim 14 Avr - 10:42 | |
| Appelée "Lames psychologiques" dans Fabulané, le niveau de cette magie est le reflet de la détermination de celui qui lance un sort, mais aussi de sa puissance psychologique. Elle est donc la conséquence de deux facteurs. Si l'un des deux est faible, le sort le sera également. Un seul facteur est insuffisant à la réalisation d'un sort. Il n'y a pas besoin de prononcer de mot spécial pour lancer un sort. Une pensée suffit. Il y a plusieurs catégories de sorts. Les sorts de combat Si les Vamchigonniens et les Fabulanéens préfèrent utiliser des Lames physiques plutôt que des Lames psychologiques en combat c'est pour une bonne raison. Chaque sort de combat qu'on lance détruit une petite partie de soi. Autrement dit, un sort dans lequel vous désirez blesser votre adversaire vous vole un souvenir. On ne sait jamais quel souvenir va être volé. C'est pour cette raison que les Sorciers de l'Empereur Noir ne peuvent plus être considérés comme des humains, de même que l'Empereur Noir : ils ont perdu toute identité au profit de la magie meurtrière qu'ils pratiquent. Les sorts guérison On ne peut pas guérir quelqu'un en un claquement de doigts, même en utilisant un sort. À la vérité, les sorts de guérison sont des questions adressées à l'encontre de la nature. Il s'agit de demander à la nature de quelle manière on peut guérir la personne voulue. Si la nature se tait, alors on ne peut pas sauver cette personne. La réponse est adressée sous la forme d'une pensée à celui qui a posé la question. Il voit l'image de plantes nécessaires à la guérison. Aucune guérison ne peut être instantanée. Les sorts de destruction Ils sont ceux qui demandent la plus grande détermination et la plus grande puissance psychologique. En effet, lorsqu'on souhaite détruire quelque chose, on va à l'encontre de l'équilibre naturel. On ne peut réduire quelque chose à rien : lorsqu'un carnivore tue, il le fait dans le but de manger et c'est ainsi qu'il transforme sa proie, elle devient une partie de lui. Faire disparaître totalement une partie de l'univers qui entoure les personnages, c'est détruire une partie de cet univers. Il faut le vouloir au plus profond de soi-même. Et par dessus tout, il faut être capable d'en assumer les conséquences : la nature peut décider de se venger parfois, mais on ne sait jamais de quelle manière elle le fera. |
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